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Or et fiscalité 2025 : ce qu’il faut savoir avant d’investir
Découvrez la fiscalité de l’or en 2025 : plus-values, exonérations, taxes sur les lingots et pièces d’or, et conseils pour investir intelligemment en France.
11/2/202517 min read
Or et fiscalité : ce qu’il faut savoir avant d’investir
En 2025, l’or reste l’un des placements les plus sûrs pour protéger son patrimoine face à l’inflation et à l’instabilité économique mondiale.
Mais avant d’acheter ou de revendre un lingot, une pièce d’or ou un bijou en or, il est essentiel de bien comprendre la fiscalité applicable à l’or physique.
En France, l’or d’investissement bénéficie d’un cadre fiscal spécifique, différent selon qu’il s’agisse d’un achat, d’une revente ou d’une transmission.
Des taxes peuvent s’appliquer, mais certaines situations permettent d’obtenir une exonération totale ou partielle, notamment après une durée de détention prolongée.
Mal maîtrisée, la fiscalité peut réduire la rentabilité d’un investissement.
Bien comprise, elle devient un véritable levier stratégique pour optimiser ses plus-values et sécuriser son capital.
Dans cet article, découvrez :
Les principes fiscaux de l’or d’investissement en 2025,
Les régimes de taxation applicables à la revente,
Les cas d’exonération légale possibles,
Les avantages fiscaux liés à la détention longue durée,
Et les conseils pratiques d’experts pour investir intelligemment dans l’or, en toute conformité.
Souhaites-tu que je passe maintenant à la partie 1 : “Fiscalité de l’or en 2025 – Les règles à connaître avant d’acheter ou de revendre” ?
1. Fiscalité de l’or en 2025 : les règles à connaître avant d’acheter ou de revendre
Investir dans l’or physique — qu’il s’agisse de lingots, de pièces d’or ou de bijoux anciens — reste une valeur refuge.
Cependant, toute transaction sur l’or est encadrée par une fiscalité spécifique en France, visant à distinguer les achats à but d’investissement des opérations commerciales ou patrimoniales.
En 2025, cette réglementation repose principalement sur deux piliers :
La taxe forfaitaire sur les métaux précieux (TFMP),
Et le régime de taxation sur la plus-value réelle (TPV).
Le choix entre ces deux régimes dépend du type d’or, de la traçabilité de son origine, et de la durée de détention.
1.1. Les deux régimes fiscaux possibles pour la revente d’or
a) La taxe forfaitaire sur les métaux précieux (TFMP)
C’est le régime le plus couramment appliqué lors de la revente d’or lorsque la provenance du bien n’est pas justifiée (absence de facture, héritage, don, etc.).
Taux 2025 : 11,5 % (incluant 11 % de taxe + 0,5 % de CRDS),
S’applique au prix total de vente, indépendamment du gain réalisé,
Payée directement par l’acheteur professionnel (bijoutier, comptoir, etc.), qui la reverse à l’État.
💡 Exemple concret :
Vous revendez un lingot d’or pour 10 000 €.
Si vous n’avez pas de justificatif d’achat, la taxe forfaitaire sera de 1 150 €, quel que soit le prix d’acquisition initial.
Ce régime est simple et rapide, mais il ne prend aucune plus-value réelle en compte. Il est donc souvent désavantageux pour les investisseurs ayant acheté leur or récemment.
b) Le régime de la plus-value réelle (TPV)
Ce régime est plus avantageux, mais nécessite la présentation d’une preuve d’achat (facture nominative ou certificat d’acquisition).
Il s’applique uniquement aux lingots et pièces d’or d’investissement reconnus.
Taux 2025 : 36,2 % sur la plus-value (19 % d’impôt + 17,2 % de prélèvements sociaux),
Exonération progressive : abattement de 5 % par an à partir de la 3ᵉ année,
Exonération totale après 22 ans de détention.
💡 Exemple :
Vous achetez une pièce d’or Napoléon 20 F à 350 € et la revendez 550 € huit ans plus tard.
La plus-value de 200 € sera réduite de 30 % (6 ans x 5 %), et vous serez taxé uniquement sur 140 €.
Ce régime est idéal pour les investisseurs réguliers, capables de conserver leurs pièces ou lingots plusieurs années.
1.2. Les opérations exonérées d’impôt
Certaines situations permettent d’éviter toute taxation :
Transmission à titre gratuit (donation ou succession) : pas de taxe sur l’or lui-même, mais les droits de succession s’appliquent selon le lien familial ;
Revente de bijoux personnels : souvent exonérée si le montant total est inférieur à 5 000 € par transaction ;
Or de collection ou numismatique : soumis à des règles spécifiques, pouvant bénéficier d’abattements selon la rareté et la valeur historique.
Ces exonérations font de l’or un outil patrimonial souple et transmissible, à condition de respecter les seuils fiscaux et les obligations déclaratives.
1.3. Les obligations administratives et justificatifs à conserver
Pour être en conformité avec la loi, il est essentiel de conserver :
La facture d’achat nominative,
Les certificats d’authenticité ou d’origine,
Les preuves de paiement (relevé bancaire, quittance),
Et les déclarations fiscales en cas de revente importante.
Les experts d’EXchange Toulouse accompagnent chaque client dans ces démarches, en délivrant des factures conformes à la réglementation française, afin de permettre une revente future sans perte fiscale.
1.4. L’intérêt d’un suivi fiscal et patrimonial personnalisé
L’or est un actif tangible, mais sa fiscalité peut rapidement devenir complexe, notamment lors de reventes multiples ou de successions.
Un suivi réalisé par un expert en métaux précieux permet :
D’anticiper la fiscalité applicable à chaque opération,
D’optimiser la durée de détention pour réduire la taxe,
Et de planifier les transmissions en toute légalité.
Chez EXchange Toulouse, chaque estimation ou rachat est accompagné d’un conseil fiscal transparent, adapté à la situation du client et conforme aux dernières évolutions réglementaires.
💡 En résumé
En 2025, la fiscalité de l’or repose sur deux grands régimes :
La taxe forfaitaire sur les métaux précieux (11,5 %),
Ou le régime des plus-values réelles, plus avantageux pour les détentions longues.
Pour investir ou revendre intelligemment, il est indispensable de conserver ses justificatifs et de s’entourer d’un professionnel agréé comme EXchange Toulouse, garant de la transparence fiscale et de la valorisation optimale de votre patrimoine en or.
2. Comment optimiser la fiscalité de son or en 2025
L’or reste une valeur refuge, mais pour en tirer le meilleur rendement, il faut savoir gérer sa fiscalité avec intelligence.
Une revente mal planifiée peut réduire la plus-value, tandis qu’une stratégie patrimoniale bien pensée permet d’échapper totalement à l’impôt.
Voici les leviers à connaître pour optimiser la fiscalité de l’or en 2025, que vous soyez investisseur particulier ou détenteur de métaux précieux à titre personnel.
2.1. Privilégier la détention longue pour bénéficier d’une exonération totale
Le régime des plus-values réelles (TPV) récompense la patience de l’investisseur.
À partir de la 3ᵉ année de détention, un abattement de 5 % par an s’applique sur la plus-value imposable.
Ainsi, après 22 ans, la revente est totalement exonérée d’impôt.
💡 Exemple concret :
Un investisseur qui conserve des pièces Napoléon achetées en 2003 et revendues en 2025 ne paiera aucune taxe sur la plus-value réalisée, à condition de présenter les justificatifs d’origine.
C’est la stratégie privilégiée pour ceux qui voient l’or comme un placement de sécurité à long terme, plutôt qu’un produit spéculatif.
2.2. Conserver les justificatifs pour éviter la taxe forfaitaire
Sans facture d’achat nominative, l’investisseur est automatiquement soumis à la taxe forfaitaire sur les métaux précieux (11,5 %).
Or, ce régime s’applique sur le prix total de revente, même si aucune plus-value réelle n’a été réalisée.
Conserver une preuve d’acquisition permet de bénéficier du régime des plus-values réelles, beaucoup plus avantageux.
Les documents à garder précieusement sont :
La facture d’achat ou le certificat d’origine,
Le reçu du paiement ou la preuve bancaire,
Les éventuels documents de transmission (succession, donation).
Chez EXchange Toulouse, chaque achat ou rachat d’or donne lieu à une facture officielle nominative, conforme à la réglementation fiscale française.
2.3. Fractionner ses ventes pour limiter la taxation
La fiscalité sur l’or s’applique à chaque transaction, non à l’ensemble du patrimoine.
Il peut donc être judicieux de revendre progressivement ses lingots ou pièces d’or au lieu d’une seule fois, notamment pour rester sous le seuil de 5 000 €, qui permet une exonération totale.
💡 Exemple :
Vendre deux pièces d’or pour 4 800 € en janvier, puis deux autres pour 4 700 € en avril, permet d’éviter la taxation, puisque chaque vente est inférieure au seuil légal.
Cette méthode de cession partielle est particulièrement utile pour les investisseurs qui souhaitent liquider progressivement leur or sans impact fiscal immédiat.
2.4. Transmettre son or par donation ou succession optimisée
La transmission d’or (pièces, lingots, bijoux) bénéficie d’un cadre fiscal avantageux.
En cas de donation ou succession, il n’y a aucune taxe spécifique sur l’or lui-même : seules les droits de succession classiques s’appliquent.
Cela permet de préparer la transmission d’un patrimoine précieux tout en limitant la fiscalité.
Les experts d’EXchange Toulouse conseillent souvent d’intégrer l’or à une stratégie de transmission patrimoniale, notamment par :
Donation en pleine propriété (transfert direct de la possession),
Donation-partage entre héritiers,
Ou transmission échelonnée pour profiter des abattements fiscaux renouvelables tous les 15 ans.
2.5. Diversifier ses supports d’investissement en or
L’optimisation fiscale passe aussi par la diversification des produits d’investissement :
Pièces d’or d’investissement (Napoléon, Krugerrand, Maple Leaf) : faciles à revendre, éligibles au régime des plus-values réelles,
Lingots d’or : idéaux pour les gros investisseurs, mais soumis à une taxation plus lourde s’ils ne sont pas tracés,
Bijoux anciens en or : souvent exonérés si leur valeur reste modérée,
Or papier ou or en bourse (ETF, CFD) : soumis à la fiscalité des produits financiers, différente de celle des métaux physiques.
Un bon équilibre entre or physique et or financier permet de réduire la pression fiscale tout en profitant de la hausse du métal jaune.
💡 En résumé
Pour optimiser la fiscalité de son or en 2025, trois stratégies dominent :
Conserver ses justificatifs pour profiter du régime des plus-values réelles,
Favoriser la détention longue pour une exonération totale,
Revendre progressivement pour éviter la taxation forfaitaire.
L’accompagnement par un professionnel agréé comme EXchange Toulouse permet d’éviter toute erreur fiscale et de tirer le meilleur rendement possible de chaque transaction, dans le respect des règles légales.
3. Or, succession et transmission : les aspects fiscaux à connaître
Transmettre ou hériter de l’or — qu’il s’agisse de bijoux anciens, de pièces d’or ou de lingots — implique de bien comprendre la fiscalité successorale applicable en France.
Si l’or reste un actif tangible et discret, il n’échappe pas pour autant aux règles du Code général des impôts.
Toutefois, il existe des stratégies légales pour préparer la transmission et réduire la pression fiscale sur le patrimoine familial.
3.1. L’or fait partie de la succession
En cas de décès, l’or détenu par le défunt — qu’il soit stocké à domicile, dans un coffre ou sous forme de bijoux — doit être intégré à la déclaration de succession.
Sa valeur est calculée selon :
Le cours de l’or au jour du décès,
Et le type de produit (bijoux, lingots, pièces d’or, or d’investissement).
💡 Exemple :
Un héritier recevant un lingot d’un kilo (soit environ 60 000 € en 2025) devra déclarer ce montant dans l’actif successoral.
Le fisc considère l’or comme un bien meuble : il entre dans le calcul des droits de succession au même titre qu’une œuvre d’art ou un bien mobilier.
3.2. Donation d’or : une stratégie pour anticiper la succession
La donation d’or permet de transmettre son patrimoine de son vivant tout en bénéficiant d’abattements fiscaux.
Chaque parent peut donner à chaque enfant jusqu’à 100 000 € tous les 15 ans, sans droits de donation.
Ces abattements s’appliquent également à la donation d’or physique, qu’il s’agisse de pièces, de bijoux ou de lingots.
💡 Exemple :
Un parent peut transmettre deux lingots de 500 g (valeur totale 60 000 €) à son enfant sans payer de droits, à condition que la donation soit déclarée à l’administration fiscale.
La donation d’or est donc un outil patrimonial souple, qui permet de réduire le montant global de la succession tout en évitant une future taxation sur la revente.
3.3. Transmission de bijoux et or de famille
Les bijoux familiaux, alliances, bagues anciennes ou parures en or sont souvent transmis sur plusieurs générations.
Leur valeur est difficile à estimer précisément, surtout s’ils comportent des pierres précieuses.
Dans la majorité des cas :
Si la valeur du bijou est modeste, elle est exonérée de droits de succession ;
Si sa valeur dépasse 5 000 €, une estimation doit être fournie à l’administration ;
Les bijoux peuvent être répartis entre héritiers dans le cadre d’un partage amiable.
Les experts d’EXchange Toulouse proposent des estimations gratuites et confidentielles pour déterminer la valeur réelle de ces biens avant transmission ou revente.
3.4. L’importance de la déclaration en cas de succession
Toute possession d’or non déclarée peut être assimilée à une dissimulation d’actif successoral, entraînant des pénalités fiscales et une requalification de la succession.
Pour éviter tout litige entre héritiers ou avec l’administration :
Déclarez toujours les stocks d’or, bijoux ou pièces d’investissement ;
Appuyez-vous sur un certificat d’expertise établi par un professionnel agréé ;
Conservez les factures d’achat ou reçus de rachat pour justifier la provenance.
Cette transparence protège les héritiers et garantit une transmission fluide et conforme à la loi.
3.5. Le rôle d’un expert en métaux précieux dans une succession
Faire appel à un expert agréé est essentiel pour assurer la valorisation juste et la traçabilité de l’or transmis.
Chez EXchange Toulouse, chaque client bénéficie d’un accompagnement sur mesure, incluant :
L’évaluation précise du patrimoine en métaux précieux,
L’assistance dans la déclaration fiscale,
Et des conseils personnalisés pour préparer une transmission ou une donation dans les meilleures conditions.
Cette approche professionnelle permet de concilier optimisation fiscale et équité entre héritiers, tout en assurant une valorisation maximale du patrimoine.
💡 En résumé
L’or, qu’il s’agisse de bijoux, de pièces ou de lingots, doit être déclaré dans toute succession, mais il peut être transmis en toute légalité et sans fiscalité excessive grâce à :
La donation anticipée,
L’application des abattements familiaux,
Et l’expertise professionnelle d’un comptoir agréé.
Préparer la succession, c’est protéger ses proches et préserver la valeur d’un patrimoine précieux.
Avec l’accompagnement d’EXchange Toulouse, chaque transmission se fait dans un cadre transparent, fiscalement optimisé et conforme à la réglementation française.
4. Les conseils d’experts pour investir et revendre son or en toute légalité
Acheter ou revendre de l’or peut sembler simple, mais chaque transaction est encadrée par une réglementation fiscale et financière stricte.
Pour investir intelligemment et éviter toute mauvaise surprise, il est essentiel de connaître les bonnes pratiques et de s’appuyer sur des professionnels agréés.
Voici les principaux conseils des experts d’EXchange Toulouse pour gérer votre or en toute sérénité, en 2025.
4.1. Acheter son or auprès d’un professionnel agréé
La première règle est de toujours acheter son or dans un établissement certifié, capable de garantir :
L’authenticité des lingots ou pièces d’or,
La traçabilité de l’origine,
Et la conformité fiscale de la transaction.
Les établissements agréés comme EXchange Toulouse délivrent :
Une facture nominative,
Un numéro de série pour les lingots,
Et un certificat d’authenticité pour les pièces d’investissement.
⚠️ Méfiez-vous des achats entre particuliers sans justificatifs : ils peuvent entraîner une taxation forfaitaire au moment de la revente ou une requalification fiscale.
4.2. Ne pas confondre or d’investissement et or de bijouterie
Tous les types d’or ne bénéficient pas du même traitement fiscal :
L’or d’investissement (lingots, lingotins, pièces d’or cotées comme le Napoléon ou le Krugerrand) est exonéré de TVA et soumis à la fiscalité des plus-values réelles ;
L’or de bijouterie, en revanche, est considéré comme un bien de consommation : il peut être soumis à la taxe forfaitaire sur les métaux précieux (11,5 %) en cas de revente sans facture.
💡 Conseil : si vous souhaitez investir, privilégiez les pièces d’investissement reconnues internationalement, faciles à revendre et fiscalement plus avantageuses.
4.3. Déclarer correctement ses transactions d’or
La transparence fiscale est essentielle.
En cas de revente, le professionnel agréé — comme EXchange Toulouse — s’occupe de :
Calculer la taxe applicable (forfaitaire ou sur plus-value),
Établir la déclaration administrative,
Et reverser le montant dû à l’administration.
Le vendeur n’a donc aucune démarche fiscale directe à effectuer, tant que la transaction est réalisée dans un comptoir de rachat agréé.
En revanche, toute vente à l’étranger, transaction en ligne ou revente entre particuliers peut nécessiter une déclaration spécifique à l’administration fiscale française.
4.4. Suivre le cours de l’or avant d’investir ou de revendre
Le cours de l’or fluctue quotidiennement en fonction des marchés internationaux (Londres, New York, Shanghai).
Un investisseur avisé suit ces variations pour acheter au bon moment et revendre au sommet du marché.
Chez EXchange Toulouse, le cours du gramme, du lingot et de la pièce d’or est mis à jour en temps réel, permettant d’obtenir le meilleur prix de rachat possible.
💡 Astuce : les périodes d’incertitude économique ou d’inflation soutenue sont souvent favorables à la revente, car elles provoquent une hausse du métal jaune.
4.5. Éviter les erreurs fréquentes des investisseurs débutants
Voici les principales erreurs à ne pas commettre :
Revendre trop tôt, avant la période d’exonération fiscale de 22 ans ;
Acheter sans certificat ou facture nominative ;
Négliger les différences entre lingotins, pièces d’investissement et bijoux ;
Oublier de diversifier ses placements (argent, platine, devises, or papier) ;
Sous-estimer les obligations déclaratives en cas de succession.
Les conseillers d’EXchange Toulouse accompagnent chaque client pour éviter ces pièges et bâtir une stratégie d’investissement claire et conforme à la législation française.
4.6. L’or et la fiscalité patrimoniale : comparaison avec les autres biens imposables
Investir dans l’or ne s’inscrit pas seulement dans une logique de diversification, mais aussi dans une stratégie globale de gestion de patrimoine.
Contrairement aux biens immobiliers ou parts sociales de SCPI, l’or ne génère aucun revenu foncier imposable et n’entre pas dans le barème progressif de l’impôt sur le revenu.
Cette spécificité en fait un actif fiscalement neutre tant qu’il n’est pas revendu — un atout majeur pour les contribuables cherchant à stabiliser leur fiscalité.
À la différence d’un bien immobilier classique, soumis à l’impôt foncier, aux revenus locatifs et aux droits de mutation, la détention d’or ne requiert aucune déclaration annuelle.
Il n’est pas non plus intégré dans le calcul de l’impôt sur la fortune immobilière (IFI, ex-ISF), car il relève de la catégorie des valeurs mobilières non productives de revenus.
En revanche, lors d’une transmission par donation ou succession, l’or est traité comme tout autre bien meuble : il est ajouté à la quote-part successorale du donateur, selon la valeur au jour de la mutation.
Dans certains cas, un démembrement de propriété (entre usufruitier et nu-propriétaire) peut être envisagé pour répartir la valeur entre plusieurs héritiers, comme cela se fait déjà pour les biens fonciers.
De plus, certains investisseurs combinent l’or à des placements immobiliers ou mobiliers (via des SCPI, assurance-vie ou contrats multisupports) afin de diversifier leur patrimoine tout en modulant leur niveau d’imposition.
La loi de finances 2025 encourage d’ailleurs cette approche équilibrée, en incitant les contribuables à privilégier des placements taxables uniquement à la cession, plutôt qu’à la détention.
Ainsi, qu’il s’agisse d’un bien immobilier, d’un contrat d’assurance-vie ou d’un portefeuille d’or physique, chaque actif possède ses propres règles fiscales, ses avantages et ses contraintes.
L’or, lui, demeure un instrument particulièrement souple, discret et faiblement imposable, idéal pour ceux qui recherchent une protection patrimoniale durable sans complexité administrative.
💡 En résumé
Investir ou revendre de l’or en 2025 demande rigueur, traçabilité et conseil professionnel.
En appliquant ces bonnes pratiques, vous :
Garantissez la conformité fiscale de vos opérations,
Optimisez la rentabilité de votre placement,
Et sécurisez votre patrimoine à long terme.
Avec l’appui d’un comptoir agréé comme EXchange Toulouse, vous bénéficiez d’un accompagnement expert, d’une transparence totale, et d’un paiement immédiat selon le cours du jour.
Conclusion : investir dans l’or en toute confiance et en toute conformité
Investir dans l’or, c’est choisir la stabilité et la sécurité face aux fluctuations des marchés financiers.
Mais pour que ce placement soit réellement rentable, il est indispensable de maîtriser sa fiscalité.
En 2025, les règles sont claires : deux régimes fiscaux coexistent — la taxe forfaitaire sur les métaux précieux (TFMP) et le régime des plus-values réelles — et chacun présente ses avantages selon la situation du détenteur.
Un investisseur averti doit donc :
Conserver tous les justificatifs d’achat,
Privilégier la détention longue pour profiter des abattements progressifs,
Et revendre au moment opportun, en s’appuyant sur un expert agréé.
Au-delà de la rentabilité, comprendre la fiscalité de l’or, c’est aussi garantir la conformité légale de ses transactions et préparer une transmission patrimoniale fluide et optimisée.
Chez EXchange Toulouse, chaque transaction — qu’il s’agisse d’un achat, d’une revente ou d’une estimation gratuite — est encadrée par des professionnels expérimentés, transparents et agréés, capables d’accompagner les particuliers comme les investisseurs dans une gestion fiscale intelligente et sécurisée.
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FAQ – Fiscalité, usufruit et placements patrimoniaux en 2025
1. Quelle différence entre usufruit et nue-propriété dans un investissement en or ou immobilier ?
L’usufruit donne le droit d’utiliser un bien et d’en percevoir les revenus (comme les loyers dans un bien locatif), tandis que la nue-propriété confère la pleine propriété à terme, sans jouissance immédiate.
Dans le cadre d’un démembrement, la valeur de l’or ou d’un bien immobilier est répartie entre usufruitier et nu-propriétaire selon un barème fixé par l’administration fiscale.
Ce dispositif est souvent utilisé pour anticiper une succession ou réduire l’imposition sur la valeur de cession au moment de la transmission.
2. Les revenus fonciers et placements immobiliers sont-ils imposés de la même manière que l’or ?
Non. Les revenus fonciers issus d’un bien locatif sont soumis à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux (CSG et CRDS), contrairement à l’or, qui n’est taxable qu’en cas de revente.
Les loyers perçus sont ajoutés au revenu global du contribuable et imposés selon le barème progressif, avec un taux pouvant dépasser 30 %.
Certains frais (intérêts d’emprunt, travaux, charges déductibles) peuvent toutefois être déduits des revenus bruts dans le régime foncier réel.
3. Comment fonctionne la fiscalité de l’or détenu via une SCI ou un plan d’épargne ?
Une SCI (Société Civile Immobilière) est généralement utilisée pour la gestion de biens immobiliers, mais elle peut aussi détenir de l’or dans certains cas spécifiques.
Les revenus et plus-values générés sont alors soumis au régime fiscal des personnes physiques, selon la part de chaque bénéficiaire.
Dans un plan d’épargne patrimonial diversifié, l’or peut jouer un rôle de capitalisation sans revenu immédiat, permettant de différer l’imposition jusqu’à la cession, à la différence d’un contrat d’assurance-vie ou d’une rente viagère.
4. Peut-on déduire certains versements ou frais liés à la détention d’or ?
En principe, les frais liés à l’achat, au stockage ou à l’assurance de l’or ne sont pas déductibles du revenu imposable, car l’or ne génère aucun revenu foncier ou financier régulier.
Cependant, dans le cadre d’une gestion de patrimoine globale, certains versements ou produits annexes (frais de coffre, assurance sur capitalisation, frais de mutation) peuvent être pris en compte dans le calcul des plus-values imposables.
À la différence de l’immobilier, l’or n’est pas soumis à la taxe foncière, ce qui simplifie considérablement sa détention pour les personnes physiques.
5. Quelle déclaration effectuer pour ses investissements ou donations en or ?
Toute revente d’or doit être déclarée au titre de l’impôt sur la plus-value.
Si la transaction est effectuée par un professionnel agréé, c’est lui qui réalise la déclaration fiscale et applique le prélèvement forfaitaire ou le régime réel selon le cas.
En revanche, les donations d’or doivent être enregistrées à la Direction Générale des Finances Publiques, au même titre qu’un bien immobilier.
Lorsqu’il s’agit d’un viager, d’une transmission ou d’un contrat d’assurance, la fiscalité dépend de la valeur du bien et de la situation du bénéficiaire (donateur, héritier, ou usufruitier).
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