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Comment reconnaître un bijou en or véritable ?
Découvrez les techniques pour vérifier si un bijou est en or véritable : poinçons, tests, aimant, densité, expertise professionnelle.
11/11/202513 min read
Comment reconnaître un bijou en or véritable ?
La valeur d’un bijou dépend avant tout de la qualité du métal précieux qui le compose. Si l’or demeure l’un des matériaux les plus recherchés pour son éclat, sa rareté et sa résistance à l’oxydation, le marché regorge également d’imitation : bijoux plaqués, doublés, alliages cuivreux ou encore métaux bon marché recouverts d’une fine couche d’or. Pour le propriétaire comme pour l’acheteur, savoir distinguer un bijou en or véritable d’une contrefaçon est essentiel afin d’éviter les mauvaises surprises lors d’une estimation, d’un achat ou d’une revente.
En France, la réglementation impose la présence de poinçons officiels attestant du titre de l’or (9, 14, 18 ou 24 carats). Toutefois, leur absence ne signifie pas systématiquement que le bijou est faux : certaines pièces anciennes, étrangères ou usées nécessitent une vérification plus poussée. C’est pourquoi plusieurs méthodes complémentaires permettent de contrôler l’authenticité du métal : tests physiques comme la réaction à l’aimant, examen du poids et de la densité du métal, mais aussi analyses chimiques adaptées aux différents taux de pureté.
Au-delà de l’identification, reconnaître un bijou en or véritable permet également d’en déterminer la valeur réelle, puisqu’un caractère plaqué ou un alliage de faible teneur réduit fortement la valeur marchande. Seul un expert qualifié peut confirmer avec certitude l’authenticité et le titrage du bijou, en s’appuyant sur des instruments professionnels et sur la connaissance des normes françaises de métaux précieux.
Ce guide vous aide à repérer les bons indicateurs et à comprendre quand et pourquoi faire authentifier vos bijoux par un spécialiste, afin de garantir une revente ou un achat au bon prix et en toute sécurité.
1. Les poinçons : première preuve officielle d’authenticité
L’identification d’un bijou en or véritable commence par la recherche de poinçons. En France, ces marquages constituent la preuve légale que le bijou contient bien de l’or et qu’il répond aux exigences du Code des métaux précieux. Ils indiquent à la fois le titre de l’or et l’éventuel responsable de la fabrication ou de l’importation.
1.1 Les poinçons de titre : 375, 585, 750 et 999 millièmes
Les poinçons les plus courants sur les bijoux français sont des chiffres correspondant directement au pourcentage d’or pur dans l’alliage :
• 375 ‰ → 9 carats (37,5 % d’or)
• 585 ‰ → 14 carats (58,5 % d’or)
• 750 ‰ → 18 carats (75 % d’or) → la norme en bijouterie française
• 916 ‰ → 22 carats (rare en France)
• 999 ‰ → 24 carats (or pur, surtout lingots et pièces)
Ce marquage garantit la qualité du métal et influence directement sa valeur marchande.
1.2 Les poinçons d’État : symbole de certification
En plus du titre, la France utilise des symboles officiels pour certifier les bijoux :
• Tête d’aigle → Or 18 carats
• Coquille Saint-Jacques → Or 14 carats
• Trèfle → Or 9 carats
Ces poinçons sont gravés sur les parties discrètes mais accessibles du bijou (intérieur d’une bague, fermoir, maille terminale).
1.3 Le poinçon de maître ou de responsabilité
Il s’agit d’un losange contenant :
• Les initiales du fabricant ou importateur
• Un symbole choisi pour l’identifier
Ce poinçon engage la responsabilité du professionnel sur la conformité du titrage.
1.4 Cas particuliers : absence ou effacement du poinçon
Un bijou peut être authentique sans poinçon visible, notamment dans les cas suivants :
• Bijou ancien usé par le temps
• Origine étrangère hors certification française
• Réduction ou réparation ayant supprimé le poinçon
• Pièce artisanale avant obligation légale
Dans ces situations, d’autres tests d’authentification sont indispensables.
1.5 Contrefaçons et poinçons frauduleux
Certaines imitations présentent :
• De faux poinçons pour tromper l’acheteur
• Des poinçons non conformes aux modèles officiels
• Des poinçons trop visibles ou mal centrés, signe d’amateurisme
Seul un œil avisé permet de détecter ces anomalies.
2. Le test de l’aimant : un contrôle simple pour détecter les imitations
L’or est un métal non magnétique : il n’est attiré par aucun aimant, même puissant. Ce test constitue donc une première vérification rapide pour éliminer de nombreuses contrefaçons.
2.1 Pourquoi l’or ne réagit pas à l’aimant
L’or est un métal diamagnetique :
• Il possède une structure atomique stable
• Il ne contient pas de fer, de nickel ou de cobalt
→ Métaux responsables du magnétisme dans les alliages bon marché
Ainsi, un bijou attiré par un aimant est systématiquement un bijou plaqué ou en alliage sans valeur aurifère.
2.2 Limites du test : les alliages non ferreux
Certaines imitations peuvent ne pas réagir à l’aimant tout en étant fausses, par exemple :
• Plaqué or sur base en cuivre ou en laiton
• Alliages précieux sans fer mais non aurifères
→ Un bijou non magnétique n’est pas une preuve suffisante d’authenticité.
2.3 Les bijoux en or blanc : un cas particulier
L’or blanc est un alliage incluant parfois du nickel :
• Si l’aimant attire légèrement le bijou → suspicion d’alliage de faible qualité
• Le test doit être complété par une analyse professionnelle
Les bijoux en or blanc haut de gamme utilisent plutôt du palladium, totalement non magnétique.
2.4 Comment réaliser le test correctement
Pour qu’il soit fiable :
• Utiliser un aimant néodyme (aimant puissant)
• Tester le bijou sur plusieurs zones, surtout proches du fermoir
• Observer si l’attraction est totale ou partielle
Même une attraction faible indique la présence d’un métal commun sous le plaquage.
2.5 Ce que révèle le test : éliminer les faux évidents
Si le bijou est attiré → il n’est pas en or massif.
Cette méthode permet donc de trier rapidement avant de passer à des tests plus techniques.
3. Le poids et la densité : mesure scientifique de la pureté de l’or
3. Le poids et la densité : une caractéristique unique de l’or véritable
L’or est l’un des métaux les plus denses et lourds au monde. Cette propriété physique constitue un critère d’authentification très fiable, car elle est difficile à imiter avec des alliages bon marché. Analyser la densité permet donc de distinguer un bijou en or massif d’un bijou plaqué, creux ou constitué d’un métal de base.
3.1 La densité de l’or selon le titrage
La densité varie en fonction du pourcentage réel d’or dans l’alliage :
• Or 24 carats (999 ‰) → densité ~ 19,3 g/cm³
• Or 22 carats (916 ‰) → densité ~ 17,5 g/cm³
• Or 18 carats (750 ‰) → densité ~ 15,5 g/cm³
• Or 14 carats (585 ‰) → densité ~ 13,5 g/cm³
• Or 9 carats (375 ‰) → densité ~ 11,5 g/cm³
✔ Plus le bijou est lourd par rapport à sa taille, plus son titrage est élevé.
3.2 Test du ressenti en main : un premier indicateur
Un bijou en or paraît plus lourd que ce que sa taille pourrait laisser penser.
Comparaison simple :
• Un bijou en laiton ou aluminium → sensation de légèreté
• Un bijou en or → lourdeur nette et surprenante
Ce test est indicatif, mais non suffisant pour évaluer la pureté.
3.3 Le test de densité par l’eau : méthode professionnelle fiable
Les experts utilisent souvent le principe d’Archimède :
Pesée du bijou à sec
Pesée immergée dans l’eau
Calcul précis du volume déplacé
→ Le rapport donne la densité exacte du métal
✔ Si la densité mesurée ne correspond pas aux densités connues de l’or → bijou suspect.
3.4 Détection des contrefaçons creuses
Certaines imitations sont fabriquées :
• en métal creux puis recouvert d’or
• avec des espaces vides internes
• à partir d’alliages légers (cuivre, zamak…)
Résultat :
→ poids anormalement faible malgré un volume important
→ test densité = incohérence immédiate
3.5 L’or blanc et ses spécificités de densité
L’or blanc est un alliage :
• Or + palladium → densité élevée → bijoux de qualité
• Or + nickel → densité plus faible → qualité inférieure
✔ La densité révèle la qualité des alliages utilisés.
4. Les tests chimiques : analyse précise du titrage en laboratoire
Les tests chimiques sont les méthodes professionnelles et réglementaires les plus utilisées pour vérifier la présence d’or et déterminer sa pureté. Ils se basent principalement sur l’analyse de la réaction du métal au contact d’acides calibrés.
4.1 La pierre de touche : une méthode non-destructive
Le bijou est frotté contre une pierre de touche pour déposer une fine trace du métal.
Ensuite :
• application de différents acides spécifiques (9k / 14k / 18k / 24k)
• observation du comportement de la trace
→ Si la trace se dissout, l’or n’est pas du carat annoncé
→ Si elle reste intacte → carat confirmé
✅ Permet un contrôle rapide et fiable sans abîmer le bijou.
4.2 Les acides d’analyse : révélateurs du carat exact
Chaque acide contient une concentration adaptée pour dissoudre uniquement les alliages inférieurs au carat testé.
Exemple :
• acide 18k → dissout tous les alliages < 18 carats
✔ Ce test permet de prouver le titrage réel.
4.3 Le test direct sur métal : à effectuer avec précaution
Dans certains cas :
• une goutte d’acide est posée directement sur une zone discrète
• l’effet (noircissement, dissolution…) révèle un plaquage
⚠ Ce test peut altérer le bijou → réservé aux situations où la pierre de touche est insuffisante.
4.4 Reconnaissance des plaquages
Les bijoux plaqués perdent très vite leur fine couche d’or sous acide :
→ détection immédiate des contrefaçons
4.5 Réalisé par un professionnel équipé
La manipulation exige :
• expertise
• matériel homologué
• connaissance réglementaire
✔ Ce test est un élément clé de certification avant rachat.
5. L’expertise professionnelle : évaluation complète et sécurisée
Même avec des vérifications personnelles, seul un expert en métaux précieux peut garantir la certitude absolue quant à la nature et à la valeur d’un bijou en or.
5.1 Identification du carat et vérification des poinçons
Le professionnel contrôle :
• authenticité des poinçons
• titrage du métal
• origine (française / étrangère / artisanale)
→ Rapport complet sur l’authenticité.
5.2 Mesure du poids d’or fin
Chaque bijou est évalué selon :
• son poids total
• son titrage
• volume d’or fin contenu = poids × pureté
✅ Cette donnée détermine sa valeur de fonte.
5.3 Prise en compte de la valeur bijoutière
Si le bijou est :
• signé
• ancien
• serti de pierres
• d’un travail artisanal
→ La valeur dépasse celle du métal seul (valeur bijou)
✔ Cela peut doubler voire tripler l’estimation.
5.4 Sécurité et transparence de la transaction
Un expert assure :
• une estimation claire et expliquée
• une transaction réglementée
• un paiement immédiat et sécurisé
• une traçabilité légale (obligatoire en France)
5.5 Services complémentaires
Un professionnel peut aussi :
• proposer un devis pour réparation ou nettoyage
• conseiller sur l’opportunité de vendre selon le cours du jour
• racheter dans les meilleures conditions du marché
6. Calcul de la plus-value, prix de cession et prélèvements applicables
La fiscalité applicable aux plus-values mobilières repose sur la différence entre le prix de cession et le prix d’acquisition des titres cédés, ajusté des frais engagés lors de l’achat ou de la vente. Le contribuable peut être taxé selon deux régimes d’imposition :
• le prélèvement forfaitaire unique (PFU ou « flat tax ») incluant impôt sur le revenu et prélèvements sociaux tels que la CSG,
• ou l’imposition au barème progressif de l’impôt, éventuellement accompagnée de l’application de l’abattement pour durée de détention lorsque les titres ont été acquis avant la réforme applicable.
Une moins-value sur d’autres cessions de titres peut venir en imputation sur les gains de même nature. Les règles restent identiques pour les cessions réalisées par un holding ou un groupe familial, sauf situations particulières entraînant une soumission à l’impôt sur les sociétés. Selon la durée de détention des titres, la taxation peut donc fortement varier pour les contribuables.
7. Cas particuliers : abattement renforcé, report d’imposition et exonérations conditionnelles
Dans certains cas de cession, les contribuables peuvent bénéficier d’un abattement renforcé lorsque les titres sont détenus depuis une durée suffisante ou lorsqu’il s’agit de titres acquis lors de la création d’une PME. L’abattement peut également s’appliquer lorsqu’un dirigeant part à la retraite. Des titres ayant été acquis ou reçus en titre gratuit peuvent aussi ouvrir droit à des mesures avantageuses, sous réserve de conditions précises fixées par la Loi de finances.
Le report d’imposition peut, dans certaines situations, être maintenu jusqu’à une cession ultérieure. À l’inverse, certaines cessions de titres deviennent totalement exonérées lorsqu’elles respectent les délais requis ou concernent des opérations intrafamiliales. Le traitement fiscal dépend donc à la fois de la nature du titre onéreux, de la durée de détention, des cessions réalisées au cours de la même année et des choix opérés en matière de régime d’imposition par le contribuable.
Conclusion
Reconnaître un bijou en or véritable repose sur une série d’analyses complémentaires : contrôle des poinçons officiels, vérification de la densité et du poids, réaction du métal aux tests physiques, et analyse chimique du titrage. Si ces vérifications préliminaires permettent d’écarter de nombreuses imitations, seule une expertise professionnelle peut garantir à 100 % l’authenticité du bijou et sa valeur réelle.
Avant toute revente, il est essentiel de faire estimer vos bijoux dans un établissement spécialisé, capable d’apporter une évaluation précise, conforme aux normes françaises, et un prix de rachat juste, basé sur le cours de l’or du jour. Vous bénéficiez ainsi d’une transaction fiable, transparente et d’un paiement immédiat.
Pour obtenir une estimation gratuite, faire analyser un bijou dont vous doutez ou revendre de l’or dans les meilleures conditions, un spécialiste local reste votre meilleur allié.
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FAQ – Imposition des plus-values de cession de titres et valeurs mobilières
1. Dans quels cas une cession de valeurs mobilières est-elle imposable ou exonérée ?
Lorsque des titres acquis ou souscrits sont cédés, une plus-value mobilière est imposable si le cédant n’entre dans aucun régime d’exonération spécifique. Les titres détenus depuis longtemps peuvent bénéficier d’abattements pour durée de détention sous certaines conditions (titres acquis avant le 1er janvier 2018).
Par exemple, pour des titres de PME, l’abattement renforcé peut atteindre 85 % après plus de huit ans de détention.
2. Qu’est-ce que l’abattement fixe ou renforcé sur cession d’actions ou droits sociaux ?
Il existe un abattement fixe (par exemple pour un dirigeant de PME partant à la retraite) sur la plus-value de cession de titres cédés, non cumulable avec l’abattement renforcé.
Par ailleurs, l’abattement renforcé s’applique aux titres acquis avant le 1er janvier 2018 et détenus pendant plusieurs années : 50 % pour 1-4 ans, 65 % pour 4-8 ans, 85 % à partir de 8 ans.
3. Comment se calcule l’imposition d’une cession de titres acquis avant le 1er janvier 2018 ?
Pour des titres acquis ou souscrits avant cette date, le cédant peut opter pour le barème progressif de l’impôt sur le revenu et ainsi bénéficier d’un abattement pour durée de détention.
La plus-value est la différence entre le prix net de cession et le prix d’acquisition des titres détenus. L’imputation éventuelle des moins-values antérieures est possible sur les gains de même nature. i
4. Quels sont les effets de la durée de détention et des années précédant la cession ?
Pour bénéficier de l’abattement de droit commun ou renforcé, il faut que les titres aient été détenus pendant une durée minimale. Par exemple :
Moins de 2 ans → abattement 0 %.
2 à moins de 8 ans → abattement 50 % (droit commun) ou jusqu’à 65 % (renforcé) selon nature des titres.
8 ans ou plus → abattement 65 % (droit commun) ou jusqu’à 85 % (renforcé) selon cas.
Les années précédant la cession comptent dans le calcul de la durée de détention.
5. Quelles sont les règles spécifiques pour les non-résidents, départ à la retraite ou droits sociaux ?
Pour les non-résidents, certaines plus-values de cession de titres peuvent être exonérées ou soumises à un régime particulier selon les conventions fiscales.
En cas de départ à la retraite du dirigeant d’une petite ou moyenne entreprise, un abattement renforcé peut s’appliquer à la cession de droits sociaux ou titres acquis antérieurement.
Les titres gratuits, les options ou les parts sociales sont également soumis à des règles fiscales spécifiques pour l’imposition des plus-values.
6. Comment l’administration fiscale détermine-t-elle si une plus-value est imposable ?
Une plus-value est imposable lorsqu’un titre est cédé avec un gain positif par rapport à son prix d’acquisition. L’administration fiscale se réfère au Code général des impôts pour appliquer le régime des plus-values sur les cessions de valeurs mobilières réalisées par des personnes physiques. Le taux d’imposition dépend du régime fiscal choisi : taux forfaitaire du PFU ou barème progressif. Les prélèvements sociaux restent dans tous les cas imposés en complément.
7. Comment choisir entre PFU (taux forfaitaire) et imposition au barème progressif ?
Le taux forfaitaire (flat tax) applique un taux global incluant impôt et prélèvements sociaux. L’imposition au barème permet parfois de réduire la taxation si le revenu fiscal de référence du contribuable est modéré ou si la plus-value est déductible partiellement grâce à un taux d’abattement lié à la durée de détention. Une déclaration de revenus adaptée permet d’opter pour le régime le plus favorable selon les cas.
8. Peut-on imputer une moins-value sur une plus-value mobilière ?
Oui. Une moins-value peut être imputée sur des gains de même nature, c’est-à-dire sur les plus-values mobilières générées par des cessions de valeurs mobilières. L’imputation peut se faire sur l’année en cours ou sur les années suivantes dans la limite fixée par le Code général des impôts.
→ Cela permet de réduire la base imposable en ne payant l’impôt que sur les gains nets.
9. Une donation ou une transmission impacte-t-elle la fiscalité des titres détenus ?
Lors d’une donation, les titres détenus et transmis ne génèrent pas immédiatement d’impôt sur la plus-value, mais leur fiscalité est reportée au jour de la future cession de valeurs mobilières par le bénéficiaire. Selon la durée pendant laquelle les titres seront détenus après la donation, un taux d’abattement pourra être appliqué, sous conditions. Dans le cas d’une société dont les titres ont été transmis depuis moins longtemps que nécessaire, la déduction peut être limitée.
10. Quelles sont les différences entre plus-values mobilières et plus-values immobilières ?
Les plus-values immobilières concernent les cessions de biens immobilières ou de values immobilières telles que terrains et bâtiments. Elles bénéficient souvent d’un abattement progressif selon la durée de détention, aboutissant à une exonération après un certain nombre d’années, notamment pour la résidence principale.
Les plus-values mobilières portent, elles, sur les titres détenus en portefeuille et relèvent de règles spécifiques en matière de prix de vente, durée de détention et régime fiscal applicable. Les deux catégories sont imposées différemment selon les articles du Code général des impôts qui les encadrent.
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